Le drone permet d’inspecter rapidement et avec précision de grandes surfaces de cultures (en moyenne 16 hectares par heure), et d’appréhender ainsi le taux de manquants, la vigueur et le stress hydrique de la culture. Il permet en format épandage (solide et liquide) de répondre à une volonté de précision et de qualité de l’épandage. Et dans le cas des terrains en forte pente, ou du blanchiment des serres horticoles, de supprimer le risque accidentogène sur les applicateurs. Le drone évite le tassement des sols, peu passer par tout temps (notamment après des
épisodes pluvieux importants), et permet de réduire les émissions de CO2. Il remplace, avec précision, les missions confiées en leurs temps aux hélicoptères.