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Effaroucheur autonome anti Cormorans

Pest Watch Tower©

🇫🇷

Conçu et fabriqué en France par une entreprise française

Effarouchage anti Cormorans sur vos lacs

Pest Watch Tower®, également PWT®, représente une innovation résultant de la constatation de l’incapacité des éleveurs piscicoles à protéger leurs poissons contre la prédation du grand cormoran.

Anemos Technologies a collaboré étroitement avec les pisciculteurs de la plaine du Forez et de la Dombes, initialement pour le compte de l’ADAPRA (Association pour le Développement de l’Aquaculture et de la Pêche Professionnelle en Auvergne Rhône-Alpes). Aujourd’hui, le « projet » est suivi en étroite collaboration avec syndicat des étangs de la Dombes. L’entreprise a mobilisé l’ensemble de son expertise pour concevoir une solution automatisée permettant aux éleveurs de détecter la présence du grand cormoran sur leurs exploitations. Ainsi, ces derniers peuvent réagir promptement pour mettre un terme à la prédation des volatiles.

MADE IN FRANCE 🇫🇷

Détection autonome, effarouchage à distance !

Pest Watch Tower représente une unité de reconnaissance du grand cormoran grâce à l’Intelligence Artificielle.

Positionné sur un pylône d’une hauteur de 1 à 3 mètres, PWT® est un dispositif embarqué équipé d’une caméra zoom alimentée par un panneau solaire, assurant ainsi son autonomie.


L’effarouchage peut-être effectué de plusieurs manières : déclenchement de feux d’artifice ou pétard à distance etc…

Caractéristiques techniques:

  • Alimentation électrique par le panneau solaire (1 x 0.6 x 0.4m)
  • La camera est montée sur pylône de 1 à 3m de haut et de 40cm de base acier
  • Poids total de l’installation ≈ 40 kg

Fonctionnement :

Grâce à sa rotation automatique à 360° et à son puissant zoom, la caméra prend des prises de vues toutes les 20 secondes. Celles-ci sont instantanément envoyées sur un serveur via 4G, où les images sont analysées automatiquement par intelligence artificielle développée pour reconnaitre le grand cormoran parmi toutes les espèces ou éléments naturels qui pourraient lui ressembler. L’exploitant est alors prévenu immédiatement sur son smartphone en cas de détection d’un grand cormoran sur son étang ou bassin.

Portée de détection :

Optimum de prise de vue : 0 à 300 mètres de distance, max 500 mètres

1 dispositif = 1 étang de 10ha couvert en 10 minutes de balayage.

Angle de vue 180°/360° sur berge et réglage possible à 360° si embarqué sur radeau.

Nous avons réussi à détecter un balbuzard pêcheur à 700m…

Adaptabilité du dispositif :

Possibilité de coupler le dispositif avec un système d’effarouchement sonore, visuel modulable et commandé à distance, intervention humaine, … Possibilité d’installation sur radeau fixe : meilleures prises de vues à 360°, moins de risque de vols ou dégradations… Permet le comptage des cormorans

Les autres usages de Pest Watch Tower :

Bien que le développement initial de PWT® ait été axé sur la protection contre la prédation du grand cormoran dans les fermes piscicoles, notre dispositif peut résoudre un large éventail de problèmes, qu’ils soient environnementaux, agricoles ou autres.

Il est possible d’entraîner l’algorithme de notre dispositif pour détecter diverses espèces telles que les ragondins, les castors, les loutres et d’autres espèces aviaires.

L’utilisation de ce dispositif s’étend au comptage des espèces dans des zones naturelles sensibles, qu’il s’agisse d’espèces protégées, nuisibles ou envahissantes, ainsi qu’en zone agricole pour évaluer les dommages causés aux cultures.

Quels sont les poissons chassés par le grand cormorans ?

Le grand cormoran (Phalacrocorax carbo) est principalement un prédateur piscivore, ce qui signifie qu’il se nourrit principalement de poissons. Les poissons chassés par le grand cormoran varient en fonction de l’habitat et de la disponibilité locale.

Parmi les espèces de poissons couramment chassées par les grands cormorans, on trouve des poissons d’eau douce tels que les carpes, les perches, les gardons, les brochets, les anguilles et d’autres petits poissons présents dans les étangs, les lacs, les rivières et les zones côtières.

Il est important de noter que le grand cormoran peut parfois être perçu comme une menace pour les activités de pêche commerciale ou de pisciculture, car il peut causer des dommages aux stocks de poissons dans certaines zones. C’est pourquoi des efforts sont déployés pour développer des solutions visant à minimiser l’impact du grand cormoran sur les populations de poissons élevés de manière contrôlée.

Qu'est-ce que le grand cormoran ?

Le grand cormoran est un oiseau aquatique de la famille des cormorans. Il est largement répandu dans le monde et se trouve dans divers habitats aquatiques, tels que les côtes marines, les lacs, les rivières et les étangs. Voici quelques caractéristiques du grand cormoran :

1. Apparence : Le grand cormoran est un oiseau de taille moyenne à grande, avec un plumage noir caractéristique. Il a un bec crochu, un cou long et mince, et ses pattes sont palmées, ce qui le rend bien adapté à la plongée.

2. Comportement alimentaire : C’est un oiseau piscivore, ce qui signifie qu’il se nourrit principalement de poissons. Il plonge sous l’eau pour chasser ses proies, utilisant ses pattes palmées pour nager. Après la pêche, il peut être vu en train de sécher ses ailes au soleil, car ses plumes ne sont pas aussi imperméables que celles d’autres oiseaux aquatiques.

3. Habitat : On trouve le grand cormoran dans une variété d’habitats aquatiques, depuis les côtes rocheuses jusqu’aux zones intérieures comme les étangs et les lacs. Il niche souvent sur des falaises, des rochers ou des arbres.

4. Répartition : La répartition du grand cormoran est mondiale. On le trouve en Europe, en Asie, en Afrique, en Australie, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud.

Bien que le grand cormoran soit une espèce adaptée à son environnement, dans certaines régions, il peut être considéré comme une menace pour les populations de poissons dans les zones de pêche commerciale ou de pisciculture, d’où l’importance de développer des méthodes de gestion pour minimiser les conflits avec les activités humaines.

Pourquoi est-ce important d'effaroucher les grands cormorans pour les pisciculteurs ?

Effaroucher les grands cormorans est crucial pour les pisciculteurs en raison de l’impact négatif que ces oiseaux peuvent avoir sur les exploitations piscicoles. Les grands cormorans sont des prédateurs voraces de poissons et peuvent causer des dommages importants aux stocks piscicoles. Leur présence peut entraîner des pertes économiques considérables pour les éleveurs, car ces oiseaux se nourrissent des poissons élevés dans les bassins aquacoles, réduisant ainsi les effectifs et la rentabilité de l’élevage. En effarouchant les grands cormorans, les pisciculteurs cherchent à dissuader ces oiseaux de se poser ou de pêcher dans leurs installations. Cela peut se faire à l’aide de méthodes dissuasives telles que des dispositifs sonores, des ballons effaroucheurs, des répulsifs visuels ou d’autres techniques destinées à perturber et à éloigner les cormorans de la zone d’élevage. En protégeant leurs poissons des prédateurs tels que les grands cormorans, les pisciculteurs visent à maintenir la santé et la productivité de leurs stocks, assurant ainsi le succès de leurs opérations et la viabilité de leur entreprise.

Quels systèmes existent pour éloigner (répulsifs) les grands cormorans ?

Il existe diverses méthodes pour éloigner les grands cormorans des exploitations piscicoles. Les dispositifs visuels, tels que les réflecteurs, les ballons effaroucheurs, ou les épouvantails, sont utilisés pour créer des mouvements et des reflets lumineux, effrayant ainsi les cormorans et les dissuadant de s’approcher des bassins.

De plus, des dispositifs sonores, comme les canons à gaz, les cris d’oiseaux prédateurs ou les alarmes sonores, sont employés pour perturber et effrayer ces oiseaux.

Certains pisciculteurs utilisent également des filets de protection ou des barrières flottantes installés sur les bassins afin d’empêcher physiquement les cormorans d’accéder aux poissons.

Une approche plus technologique comprend l’utilisation de systèmes de surveillance automatisée. Ces dispositifs reposent sur des capteurs ou des caméras munis de logiciels d’intelligence artificielle. Ils détectent la présence des cormorans et activent automatiquement des méthodes dissuasives comme des bruits, des mouvements ou des signaux lumineux pour les éloigner.

Ces méthodes sont souvent combinées pour augmenter leur efficacité en variabilisant les stimuli pour les cormorans. Cette diversité d’approches vise à décourager ces oiseaux de rester dans les zones où ils pourraient causer des dommages aux poissons d’élevage, contribuant ainsi à protéger les stocks piscicoles des éleveurs.

Pourquoi un système autonome sélectif (détection sur IA) est très efficace ?

Un système autonome sélectif, reposant sur la détection par intelligence artificielle (IA), s’avère très efficace pour plusieurs raisons majeures.

Premièrement, l’efficacité d’un tel système découle de sa capacité à éliminer les erreurs humaines. L’IA utilisée dans la détection est capable d’apprendre et d’analyser d’énormes quantités de données. Elle peut ainsi distinguer avec précision les objets ciblés de leur environnement, minimisant ainsi les fausses alertes ou les détections incorrectes souvent rencontrées avec des méthodes de surveillance manuelles ou non automatisées.

Deuxièmement, la rapidité et la constance de la surveillance effectuée par l’IA sont des atouts majeurs. Contrairement aux êtres humains, l’IA fonctionne sans fatigue et est capable de surveiller de manière ininterrompue sur de longues périodes. Cela permet une détection continue et une réactivité immédiate en cas d’anomalie, améliorant ainsi la réponse aux incidents potentiels.

Troisièmement, la capacité d’adaptation de l’IA en fait un outil polyvalent. Les algorithmes d’apprentissage automatique peuvent être entraînés pour reconnaître un large éventail de cibles, et ils s’adaptent également à de nouvelles données. Ainsi, le système peut être mis à jour pour détecter de nouveaux types de menaces ou d’objets spécifiques sans nécessiter de modifications matérielles importantes.

En outre, la précision de l’IA dans la reconnaissance des modèles et des comportements permet une détection proactive des problèmes potentiels. Cette capacité prédictive permet de prévenir les incidents plutôt que de simplement y réagir, offrant ainsi aux utilisateurs une gestion proactive et une meilleure prise de décision.

En résumé, l’efficacité d’un système autonome sélectif reposant sur la détection par IA réside dans sa capacité à éliminer les erreurs humaines, sa rapidité et constance de surveillance, son adaptation aux nouveaux défis et sa capacité à détecter proactivement les problèmes. Ces caractéristiques en font un outil précieux pour la surveillance et la détection dans divers domaines, de la sécurité aux applications industrielles en passant par la protection de l’environnement.

Pourquoi est-ce important qu'un système d'effarouchage sonore (répulsif) n'envoie pas des sons constants ?

Lorsqu’il s’agit de systèmes d’effarouchage sonore pour dissuader les oiseaux nuisibles tels que les cormorans, la variabilité des sons est essentielle pour maintenir leur efficacité.

Les oiseaux ont la capacité de s’habituer aux bruits constants et répétitifs. Ainsi, si un son spécifique est émis de manière invariable, les oiseaux peuvent s’habituer à ce bruit et l’ignorer progressivement, réduisant ainsi l’efficacité du dispositif d’effarouchement.

C’est là que la variabilité des sons intervient. En émettant des sons aléatoires, changeant de fréquence, d’intensité ou de séquence, le système empêche les oiseaux de s’habituer à un schéma sonore spécifique. Cette variabilité sonore perturbe leur comportement naturel, les empêchant de devenir indifférents ou insensibles au bruit émis.

Cette technique de variation des sons crée une incertitude chez les oiseaux en les empêchant de prédire les schémas sonores. Cela les maintient dans un état d’alerte et les dissuade de s’approcher des zones protégées, car ils ne peuvent pas anticiper le moment où des bruits effrayants pourraient être émis.

En évitant l’accoutumance, le système d’effarouchement sonore reste efficace sur le long terme. Il maintient une certaine forme d’effet dissuasif constant, même après une utilisation prolongée, préservant ainsi l’efficacité de la dissuasion contre les oiseaux nuisibles.

En résumé, la variabilité des sons dans un système d’effarouchement sonore est cruciale pour empêcher les oiseaux de s’habituer aux bruits émis, maintenant ainsi l’efficacité du dispositif sur le long terme en les empêchant de prévoir les schémas sonores et en maintenant un état d’alerte constant.

Quels sont toutes les espèces aviaires en France (comme les cormorans) qui peuvent être nuisibles aux pisciculteurs ?

En France, plusieurs espèces aviaires peuvent être considérées comme nuisibles aux pisciculteurs en raison de leur comportement prédateur envers les poissons d’élevage. Outre les cormorans, voici quelques autres espèces aviaires qui peuvent poser des problèmes dans les exploitations piscicoles :

1. Hérons cendrés (Ardea cinerea) : Ces grands échassiers sont des prédateurs redoutables pour les poissons des étangs et des cours d’eau. Leur régime alimentaire comprend souvent des poissons, et ils peuvent causer des pertes importantes dans les piscicultures.

2. Goélands et mouettes : Certaines espèces de goélands et de mouettes sont opportunistes et peuvent se nourrir de poissons dans les bassins de pisciculture, en particulier dans les zones côtières.

3. Grands harles (Mergus merganser) : Ces canards plongeurs se nourrissent principalement de poissons et peuvent être considérés comme une menace pour les poissons d’élevage, en particulier dans les plans d’eau où ils sont présents en grand nombre.

4. Grèbes huppés (Podiceps cristatus) : Ces oiseaux aquatiques, bien qu’ils se nourrissent principalement de petits poissons, peuvent occasionnellement causer des dommages dans les piscicultures.

5. Grands corbeaux (Corvus corax) : Bien que leur régime alimentaire soit varié, les grands corbeaux peuvent parfois se nourrir de poissons et peuvent causer des dommages dans les piscicultures situées à proximité de leurs zones de nidification.

Ces espèces peuvent varier dans leur comportement prédateur selon les régions et les conditions environnementales locales. Les pisciculteurs doivent donc souvent mettre en place des méthodes de dissuasion ou de protection spécifiques adaptées à chaque espèce pour protéger leurs poissons des prédateurs aviaires.

Cependant, il convient de noter que ces oiseaux jouent également un rôle écologique important dans les écosystèmes naturels et sont protégés par la loi dans de nombreux cas. Les méthodes de dissuasion doivent être mises en œuvre de manière responsable et respectueuse des réglementations environnementales et de la protection de la faune sauvage.

Notre système est sélectif, cela est important pour préserver le biotope.

Un système sélectif dans le domaine de dissuasion ou de protection contre les oiseaux nuisibles dans les exploitations piscicoles est crucial pour préserver l’équilibre écologique du biotope environnant.

La sélectivité d’un système signifie qu’il est conçu pour cibler spécifiquement les espèces problématiques tout en préservant la faune et la flore non ciblées. Cette approche ciblée est essentielle pour éviter d’impacter négativement les espèces non nuisibles ou protégées, contribuant ainsi à maintenir la diversité biologique et l’équilibre écologique dans la région.

En préservant la sélectivité, le système évite des répercussions néfastes sur l’écosystème local, réduisant ainsi les effets secondaires indésirables sur d’autres espèces d’oiseaux, de poissons ou d’animaux présents dans l’environnement. Cela permet également de minimiser les interférences avec les cycles naturels de la faune et de la flore locales.

De plus, la sélectivité contribue à respecter les réglementations environnementales et les normes de conservation de la faune. En s’assurant que seules les espèces problématiques sont ciblées, le système favorise la conformité aux lois et réglementations concernant la protection de la biodiversité et de l’environnement.

En résumé, la sélectivité d’un système de protection contre les oiseaux nuisibles dans les exploitations piscicoles est essentielle pour maintenir l’équilibre écologique du biotope environnant, minimiser les impacts sur les espèces non ciblées et assurer la conformité aux réglementations environnementales. Elle permet ainsi de concilier les intérêts de la pisciculture avec la préservation de l’environnement naturel.