Sur le terrain, l’expérimentation satisfait tous les acteurs (Chambre d’agriculture, Institut français de la vigne…). Les drones équipés de buses et d’un système de géolocalisation font leurs preuves. Ils évoluent d’un mètre cinquante à trois mètres au-dessus des feuillages. Pour rappel, les produits dispersés sont homologués en agriculture biologique.
Pour Claude, il n’y a pas de comparaison possible : « là où le drone va intervenir plus précisément en mobilisant juste deux personnes (pilote et une personne pour recharger l’outil) et des produits bio (cuivre et soufre) ; en manuel, il faudrait cinq personnes sans doute avec des produits plus costauds et des risques plus élevés ! »